Les Lamincards en France !

Ceux qui me connaissent bien savent que je ne collectionne que du japonais (enfin de l'asiatique, parce que je ne fais aucune distinction entre Bandai made in Japan et Bandai HK) ou bien du français tiré du japonais. Alors pourquoi parler ici de ces Lamincards, cartes à jouer d'origine italienne qui comptent déjà de nombreuses séries là-bas ?

Eh bien, l'initiative de l'éditeur Edibas est louable, tout simplement. Parce que l'édition franchouillarde de ces cartes peut se trouver dans toutes les papèteries (oui oui Bandai, c'est à toi et aux Skill Card françaises que je pense là), au prix dérisoire d'1€50 le paquet et 3€95 le classeur de rangement. Evidemment, pour cette somme, il ne faut pas s'attendre à des miracles. Sur 162 cartes en plastique transparent, seules les 63 premières cartes personnages en valent la peine avec des visuels originaux, net et (plus ou moins) bien dessinés, certains déjà connus, d'autres encore jamais édités en cartes. Le reste, c'est des screen-shots de l'animé (essentiellement de la période Freeza), d'une part mal chosis et d'autre part d'une très mauvaise qualité d'impression. Autant j'étais décidé à faire l'intégralité de cette première part pour saluer l'initiative de distribuer ces cartes dans toutes les papèteries (sic), autant je suis vite revenu sur cette idée tellement les cartes, à partir de la 64, sont vilaines.

A noter que sur ces 162 cartes, certaines existent en version métal argentée (à priori une trentaine). Ces Lamincards, plastifiées comme métalisée, sont extrêmement sensibles au toucher. A manipuler avec précaution.

Photo 1 : classeur + sachet
Photo 2 : quelques Lamincards plastifiées
Photo 3 : quelques Lamincards métalisées

Remarque : comme vous le voyez, il est dommage de retrouver sur ces cartes des noms comme Sangoku ou Petit Coeur. A l'heure où Gokû et Piccolo sont largement popularisés dans les esprits.