Eh non, perdu, je ne vais pas parler ici de l'opening Dragon Soul de Dragon Ball Kai, mais de la sortie tant attendue des Miracle Battle Carddass (MBC), pour laquelle l'interprète Takayoshi Tanimoto a enregistré une version spéciale du générique. Bon, cet article ne sera pas vraiment complet car le facteur jeu ne m'intéresse pas (je n'ai de toute façon pas encore reçu le starter), mais je vais vous présenter globalement la collection et les cartes disponibles dans la booster-box que mon ami Silent Bob m'a apportée aujourd'hui. Une fois de plus, un grand merci à lui ;)
Mais pour commencer, un petit historique parce que c'est toujours bien de savoir de quoi on parle (clin d'oeil spécial à mon ami Matt). Après les Card Game et les Super Card Game, les MBC peuvent être considérées comme la 3ème génération de Carddass jouables en jeu de carte sur plateau. Vous me direz, les Carddass Hondan et Super Battle l'étaient aussi en leur temps, mais dans ce cas-là le facteur jeu n'était que secondaire comparé à l'aspect collection. Suite à l'immense succès de Magic the Gathering sur le sol japonais à la fin des années 90, Bandai a du changer son fusil d'épaule et cogiter un peu pour adapter le même système de jeu à ses prestigieuses licences animées. Et c'est ainsi que sortiront, au début du 21ème siècle, les Card Game Dragon Ball, qui ne sont ni plus ni moins qu'une évolution des Carddass jouables sur plateau d'époque. Dans le même genre d'idée, les Data Carddass sont quand à elle l'évolution des anciennes Play-Carddass, c'est à dire les Super Barcode Wars, pouvant être scanné sur un appareil pour reproduite les combats titanesques de la saga.
Mais pour commencer, un petit historique parce que c'est toujours bien de savoir de quoi on parle (clin d'oeil spécial à mon ami Matt). Après les Card Game et les Super Card Game, les MBC peuvent être considérées comme la 3ème génération de Carddass jouables en jeu de carte sur plateau. Vous me direz, les Carddass Hondan et Super Battle l'étaient aussi en leur temps, mais dans ce cas-là le facteur jeu n'était que secondaire comparé à l'aspect collection. Suite à l'immense succès de Magic the Gathering sur le sol japonais à la fin des années 90, Bandai a du changer son fusil d'épaule et cogiter un peu pour adapter le même système de jeu à ses prestigieuses licences animées. Et c'est ainsi que sortiront, au début du 21ème siècle, les Card Game Dragon Ball, qui ne sont ni plus ni moins qu'une évolution des Carddass jouables sur plateau d'époque. Dans le même genre d'idée, les Data Carddass sont quand à elle l'évolution des anciennes Play-Carddass, c'est à dire les Super Barcode Wars, pouvant être scanné sur un appareil pour reproduite les combats titanesques de la saga.
Venons-en au sujet. Cette fois-ci Bandai pousse le concept encore plus loin, en éditant les MBC Dragon Ball conjointement aux MBC One Piece ! C'est ainsi que la part 1 des MBC One Piece est sortie le même jour que les MBC Dragon Ball, et il en sera probablement de même pour les suivantes étant donné qu'elles sont... compatibles entre elles ! Bandai s'offre ainsi une promotion d'enfer en associant 2 des plus gros bulldozer de la Shueisha et de Tôei Animation, et nul doute que ces MBC connaîtront un immense succès au Japon avant d'arriver peut-être un jour, en France.
Tout comme les CG et SCG, les cartes de cette part 1 des MBC (MBC-DB01) peuvent être obtenues soit à partir des vending-machines (concept japonais increvable dont je suis totalement fan), soit via des booster-packs, plus accessibles à nous autres gaijin. 8 cartes par booster, 20 boosters par booster-boxes. Je tiens à dire que je trouve le design de cette box particulièrement réussi et travaillé, que ce soit face avant (photo 1), face arrière (photo 2) et même intérieur (photo 3). On y retrouve les illustrations des cartes, accompagnées des dialogues-clés de la série. Par exemple, sur la languette (photo 4) est écrit Ore ha okotta zo !!! Furîzaaaa !!! soit la célèbre phrase de Gokû : "Je suis en colère !!!! Freeza !!!"
Venons-en maintenant aux cartes. Dans ces boosters, les collectionneurs peuvent réunir 101 cartes différentes, réparties en 5 degré de rareté :
- Les cartes communes (common), au nombre de 45. 6 par booster.
- Les cartes non-communes (uncommon), au nombre de 30. Celles-ci sont marquées d'un U en bas à droite. 2 par booster.
- Les cartes rares (rare), au nombre de 14. Elles sont marquées d'un R et bénéficient d'un aspect foil (je vous rassure, bien plus réussi et brillant que celui du pauvre JCC / Super Série) sur toute la carte sauf le cadre de jeu. 1 tous les 2 boosters.
- Les cartes super-rares (super-rare), au nombre de 8. Marquées d'un SR et bénéficiant d'un aspect foil, l'illustration continue en arrière-plan du cadre de jeu (qui est foil lui aussi cette fois). 1 tous les 5 boosters.
- Les cartes omega-rares (omega-rare), au nombre de 4. Marquées d'un Ω, l'illustration est désormais en avant du cadre de jeu. Les cartes sont foils et incrustées de brillant (dorures dans le cas de Gokû). 1 tous les 20 boosters.
- Les cartes communes (common), au nombre de 45. 6 par booster.
- Les cartes non-communes (uncommon), au nombre de 30. Celles-ci sont marquées d'un U en bas à droite. 2 par booster.
- Les cartes rares (rare), au nombre de 14. Elles sont marquées d'un R et bénéficient d'un aspect foil (je vous rassure, bien plus réussi et brillant que celui du pauvre JCC / Super Série) sur toute la carte sauf le cadre de jeu. 1 tous les 2 boosters.
- Les cartes super-rares (super-rare), au nombre de 8. Marquées d'un SR et bénéficiant d'un aspect foil, l'illustration continue en arrière-plan du cadre de jeu (qui est foil lui aussi cette fois). 1 tous les 5 boosters.
- Les cartes omega-rares (omega-rare), au nombre de 4. Marquées d'un Ω, l'illustration est désormais en avant du cadre de jeu. Les cartes sont foils et incrustées de brillant (dorures dans le cas de Gokû). 1 tous les 20 boosters.
Force est donc de constater que la rareté des cartes se "yûgiohise", et qu'ils sera donc assez difficile de réunir un fullset. Comme vous pouvez le deviner d'après les estimations précédentes, une booster-box permet de réunir toutes les cartes communes et non-communes, 10 cartes rares, 4 cartes super-rares et 1 oméga-rare. Petite remarque au niveau de la numérotation : selon le site officiel, on parlera de DB01-XX pour les cartes disponibles en booster-box et vending-machine, et de DBS01-XX pour les cartes du starter. Celui-ci proposant 27 cartes différentes, la part 1 des MBC totalise donc en tout 128 cartes.
La beauté des cartes ? Eh bien, si j'étais assez partagé au début (principalement à cause de la zone de jeu qui occupe le tiers de la carte, et qui avait été faite discrète sur les précédentes Super Card Game), je dois dire que la donne change une fois les cartes en main. Certains visuels sont en effet superbes et font oublier ce petit désagrément (enfin pour certains, cela gâchera encore plus, j'imagine). La grande force de ces MBC est de proposer 100% de visuels inédits. Pas de screenshots de l'anime, pas d'illustrations d'ailleurs, ici tout a été créé spécialement pour la collection avec plus ou moins de réussite. A titre personnel, ma carte préférée est celle où Gokû enfant transperce Piccolo Daimaô. Pas de surprise, la même mise en scène était déjà ma préférée dans la part 1 des Card Game ^^
Dernier point qui m'a fait sourire : la présence de cartes de type "pub" dans chaque booster. Rien de bien exceptionnel me direz-vous, les Super Card Game en avait déjà. Oui mais dans le cas des MBC, il y en a 4 différents à collectionner, dont 2 checklists. Les collectionneurs d'époque (re)penseront aux Memorial Photo et autres Hero Collection, qui permettaient aussi de "collectionner" plusieurs cartes de ce type.
Au final, vous l'aurez compris, je suis plus que satisfait de cet achat ^^
Au final, vous l'aurez compris, je suis plus que satisfait de cet achat ^^
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